JJ Laborde - 2000
Un souffle invisible venait de l'Orient.
Ses caresses trompeuses éveillaient mille émois.
Emporté par le vent, un tourbillon de sable
S'éleva dans les airs, traçant une spirale.
Il tournoyait toujours et montait plus encor.
Mais, comme dit l'Ecriture, le souffle s'apaisa.
Le sable libéré retomba, retrouvant les rochers.
L'image était trop forte, il fallait la garder.