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A propos de Raymond Moullec
"... Jusqu’à 1936, si nous connaissons au travers des appréciations de ses chefs quelques-uns de ses traits de caractère (manque d’autorité, timide, travailleur, obstiné...), nulle trace d’engagement politique n’apparaît. Certes, Paul Galleret, qui servira avec lui dans les FNFL , et ne le prisera guère, lui prête « des sympathies antérieures [à son arrivée en Espagne] pour le Cartel des gauches » . Cette assertion est à considérer avec précaution car, à l’époque du Cartel, Moullec n’était qu’un jeune enseigne, et si ses chefs eurent alors à se plaindre de lui, c’était davantage pour son apparente indolence qu’en raison de sympathies avérées pour le Parti radical ou la SFIO. ..." Laurent Laloup le lundi 22 septembre 2008 Contribution au livre ouvert de Paul François Victor Michel Galleret | |
