Claude André Michel Péri alias Jack Langlais - Les Français Libres

Les Français Libres, de juin 1940 à juillet 1943

 
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Claude André Michel Péri alias Jack Langlais



Naissance : 7 avril 1908 - Hanoï, Tonkin, Indochine

Point de départ vers la France Libre : Metropole

Engagement dans la France Libre : en juillet 1940

Affectation principale : FNFL / marine de guerre

Royal Navy HMS Fidelity

Grade atteint pendant la guerre et spécialité : lieutenant de vaisseau

Décès à 34 ans - 1er janvier 1943 - Atlantique

Mort pour la France

Dans la liste de l'amiral Chaline : ligne 11418

Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 40827


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Claude André Michel Péri alias Jack Langlais - son Livre ouvert !
 

Témoignage de mon père, Michel Boucher à propos de Claude Péri

Bonjour à tous, j'ajoute le témoignage écrit de mon père à propos de Claude Péri " si l'on veut en tirer le portrait de ce personnage : aventurier, violent, généreux, loyal, brulant la vie et son désir intense de finir sa vie dans une guerre juste, au service de son Pays et de sa propre gloire "

Claire Baudin le dimanche 03 septembre 2023 - Demander un contact

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Workship International

Bonjour à tous, j'ajoute un document PDF à propos de l'histoire du HMS FIDELITY, commandé par Claude Peri. Cordialement. Claire

Consultez le fichier PDF joint !

Claire Baudin le lundi 28 août 2023 - Demander un contact

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Claude Peri et son Navire

Bonjour à tous, je suis très touchée de contribuer à quelques documents concernant Claude Peri, qui a été le fils du beau-père, François Péri ( 1870-1938) de mon père, Michel Boucher (1923-2010 ). J'ai cette photo de Claude, mais aussi des documents qui j'ai rassemblé en PDF. Cordialement. Claire

Consultez le fichier PDF joint !

Claire Baudin le mardi 22 août 2023 - Demander un contact

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Comment Péri fit entrer Albert Guérisse dans la Royal Navy

source : récit de H.-L. Nouveau à Mme Granet le 10 avril 1947 (archives nationales)
Albert Guérisse, médecin deux galons dans l'armée belge, avait quitté son pays après la débâcle et trouvé refuge à Marseille. Il y fit connaissance du commandant Claude Péri, un des rares marins gaullistes de l’époque, qui avait trouvé un moyen astucieux de gagner l’Angleterre en se faisant nommer convoyeur du Mélie, un bâtiment de la Cie Paquet se rendant à Casablanca, et il emmena avec lui Guérisse. Grâce à la complicité du radio, Péri s’arrangea pour se faire arraisonner par les Anglais au large de Gibraltar, et leur offrit de livrer le bateau et sa cargaison à condition d’engager Guérisse dans la Royal Navy.
Guérisse dut changer d’état civil et devint le Ct Pat O’Leary, officier sur le navire devenu bateau de guerre, faisant du sabotage sur la côte méditerranéenne. l’équipage, obligé de descendre à terre lors d’une tempête vers Banyuls. Guérisse est arrêté et envoyé à Saint-Hypolyte et après maintes péripéties parvint à s’évader avec l’aide du sergent Jean de la Olla, gardien du fort. c’est alors qu’il rejoignit Ian Garrow, avec Jean de la Olla, et prit sa suite lorsqu’il fut arrêté à son tour.

Duhard le jeudi 16 août 2018 - Demander un contact

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Les services secrets du général de Gaulle / Sébastien Albertelli

"Malgré les professions de bonne volonté des autorités britan­niques de Gibraltar, la mission n'atteignit jamais les côtes nord-africaines. Le navire sur lequel se trouvaient les agents avait été repéré par l'ennemi et était revenu à Gibraltar. Jaquelin refusa de poursuivre l'opération et fut débarqué. L'IS jugea sage d'an­nuler toute la mission et de renvoyer les deux hommes à Londres. Jaquelin stigmatisa le comportement du commandant du navire, Péri, alias Jack Langlais, un officier français, ancien du 5e Bureau, qui avait intégré la Royal Navy en prenant un pseudonyme ayant valeur de programme. Bien que Passy l'ait averti de l'anti-gaullisme forcené de cet officier, Jaquelin fut extrêmement affecté par les insultes et les brimades dont il fut victime. Un autre Français, présent sur le navire à l'insu du SR et soumis au même traitement, se suicida. Passy n'avait aucune raison de mettre en doute des accusations confirmées, en partie, par l'équipage du Fidélité aux autorités britanniques. L'annulation de cette mission soulignait l'échec plus général du SR dans ses Tentatives pour établir des liaisons avec les organisations nord-Africaines. Du point de vue britannique, l'AFN relevait avant tout de FIS, accusé par le SOE d'entraver ses propres activités sur ce territoire. Dès le mois d'avril 1941, Passy évoqua «une politique nettement délibérée » de l'IS visant à exclure les FFL d'Afrique du Nord. Si les archives disponibles ne permettent pas d'étayer cette accusation, les conditions dans lesquelles les services de la France libre furent tenus à l'écart de l'AFN en 1942 laissent penser qu'elle ne relevait pas de la pure et simple paranoïa."

Laurent le samedi 17 octobre 2009 - Demander un contact

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Jack Langlais

www.specialforcesroh.com 

Laloup Laurent le vendredi 05 juin 2009 - Demander un contact

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Colonel « Passy » : Mémoires du chef des services secrets de la France libre, Odile Jacob, 2000 , notes de JL Cremieux-Brilhac :

"Un certain enseigne de vaisseau Péri avait livré aux Anglais son bâteau Le Rhin et reçu d'eux en récompense une commission de capitaine de corvette dans la Royal Navy. Ce bateau fut débaptisé et devint la Fidelity ; il fut utilisé par la suite en corsaire, sous les ordres de Péri devenu le lieutenant-commander Langlais (ô ironie !), et alla à plusieurs reprises, pour le compte des Britanniques, déposer et reprendre leurs agents secrets en Afrique du Nord."

"Le ralliement de Péri et de son bâtiment à la Royal Navy aurait eu pour cause première une altercation qu'il aurait eue à Gibraltar avec Muselier à la fin de juin 1940. L'état-major français libre en attribuait la responsabilité à l'amiral. Péri et l'équipage français qu'il avait entraîné dans la dissidence trouvèrent la mort sur l'Atlantique le 30 décembre 1942 à bord du Fidelity torpillé."

Laurent Laloup le lundi 05 janvier 2009 - Demander un contact

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www.mer-1939a1945.fr 

"LE RHIN

09 mai 1940 Amène une équipe de nageurs de combats, commandée par l'enseigne de vaisseau Péri, dans le port de Las Palmas où ils vont attaquer et sérieusement endommager le cargo allemand Corrientes, grâce à un nouvel explosif, le plastic.
01 juin 1940 Participe à la défense du port de Marseille contre une attaque de la Luftwaffe, avec son unique mitrailleuse de 13,2 mm.
22 juin 1940 Rallie Gibraltar dans la nuit du 22 au 23 juin. Une violente bagarre va opposer l'équipage, entre ceux désirant rejoindre l'Angleterre et ceux décidés à rester fidèles à Vichy. Six hommes demeurent avec Claude Péri pour continuer la lutte. Les autres rentreront en France après avoir embarqué le 26 juin, à bord du cargo français LIEUTENANT DE LA TOUR
10 juillet 1940 Incorporé à la marine britannique sous le nom de Fidelity et le matricule D 57 - Le capitaine Cannebotin est nommé Lieutenant Commander et prend le nom de Doudet - Claude Péri reçoit le même grade et prend le pseudonyme de Jack Langlais. La devise du navire devient "Honneur ne cherche, fidèle je suis" - La cargaison du navire est vendue et rapporte 10 061 livres sterling - Péri fait distribuer 1 000 livres à l'équipage et fait don du reste à l'Air Ministry, ce qui représente l'achat de deux chasseurs Spitfire, dont l'un portera le nom de Fidelity."

Laurent Laloup le samedi 24 novembre 2007 - Demander un contact

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www.telegraph.co.uk  

" Not so fair in love and war
Last Updated: 12:01am BST 14/08/2005

This book, according to its subtitle, tells "a true story of love, war and espionage". The cover strikes a poignant note; a young naval officer embraces a girl beneath a station clock, as a ship sinks in the background. Throughout his account of his subject's adventures during the Second World War, Edward Marriott does his best to convince us that they were indeed a romantic and heroic couple. He does not altogether succeed; but he has certainly uncovered an extraordinary story.

The basic facts are clear. Claude Peri and Madeleine Bayard were French spies. They met in Indochina in the late 1930s, became lovers, travelled and worked together, were secretly based aboard a merchant ship, Le Rhin, as saboteurs, and were in Paris in June 1940 when the Germans marched in. Determined to fight on, they rejoined Le Rhin in Marseilles and ensured that she sailed for Gibraltar, where Claude offered their services to the British. Despite opposition from his French superiors and most of his crew, he took over Le Rhin and sailed her to Wales.

By early 1941 Le Rhin had become HMS Fidelity and Claude and Madeleine had become Commander Jack Langlais ("the Englishman") and Wren Officer Madeleine Barclay (after the bank). Seconded to SOE (the renowned Special Operations Executive) they made two expeditions to the Mediterranean during 1941 to land and pick up agents; neither was successful, and during the second there was a suicide on board which led to an inquiry into the way the ship was run.

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After spending most of 1942 training on the Isle of Wight, in December Fidelity joined a convoy sailing for the Far East. She was sunk by U-boats on December 30; there were no survivors and, because of her irregular origins and activities, her fate, and that of the 300 people on board, was kept secret.

Marriott's researches have been prodigious. He has scoured French and British naval and intelligence archives and tracked down anyone who knew anything about Claude and Madeleine, their backgrounds, their relationship and what went on aboard the ship. The trouble with this material is that it is either official and impersonal, or fragmentary and unreliable. Both of them told tall tales about themselves; both had plenty to hide. Marriott always gives them the benefit of the doubt: "He volatile yet charming; she blonde, feline, a markswoman."

In fact, neither of them was particularly attractive or agreeable. Madeleine seems to have shown emotion only for her dog, and once, when drunk, instructed her fellow officers to lower their trousers so that she could paint their genitals with red ink. Claude's arrogance, vile temper and violent outbursts - he was given to punching subordinates in the face -- are excused as the consequence of a passionate temperament under strain.

Marriott even presents them as better-looking, more glamorously French, than they appear from their photographs - he writes, more than once, of Madeleine's gleaming golden hair and long tanned limbs, whereas she appears to have had fairish curls and short, if neat, legs. Claude was bullet-headed and heavy.

To enliven the tale, Marriott falls into the trap of occasionally, and rather obviously, making things up. The opening pages are a vivid description of how Madeleine was raped on her Vietnamese rubber plantation, which may or may not be true; thereafter there are all too frequent references to the sun or moon gleaming on the water, or tall trees standing out against a winter sky.This is a pity, as it makes one doubt the general veracity of his account, especially as there are no notes to indicate how he has used his material.

The truth seems to be that Claude was a fantasist and a thug, of the kind that can be useful in wartime, and that Madeleine was a tough operator. They were certainly brave, and patriotic, but in fact as a team they achieved little and caused their superiors and colleagues a great deal of trouble.

Perhaps wisely, Marriott does not try to understand their natures. He is content to tell a ripping yarn, which could well end up as an entertaining and cheerfully inaccurate film. "

Laurent Laloup le vendredi 20 juillet 2007 - Demander un contact

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Extrait de /members.iinet.net.au  

" More Maritime Disasters of World War II "

HMS FIDELITY (January 1, 1943)

Formerly the French merchant ship Le Rhin (2,455 tons) requisitioned by the Admiralty, converted to a SSV ship (Special Service Vessel) and renamed HMS Fidelity. Armed with four inch guns, torpedoes and depth charges she also carried two sea-planes, a motor torpedo boat and two small landing craft. The vessel, believed by some of the crew to be totally unseaworthy, carried out operations of an extremely hazardous nature i.e. landing of secret agents on enemy territory. Due to the secret nature of the ship, the crew were volunteers, the non British members sailing under assumed names and the French and other crew members received anglicised names. Her captain was an ex-French spy Claude Peri, who assumed the name Jacques Langlais and to the amazement of the crew took his mistress, WRNS officer Madeleine Barclay, onboard with him.

After operations in the Mediterranean, the Fidelity was assigned to the Far East Fleet and sailed from Portsmouth to Colombo via the Cape, part of the way with convoy ONS-154. In an area of the Atlantic known as the Black Pit, an area beyond the protection of aircraft, the convoy, escorted by five Canadian corvettes, was attacked by U-boat wolf packs and over the next five days fourteen of the forty-five ships were sunk with 510 lives lost. The Fidelity, lagging behind with engine failure, was torpedoed by the U-435 (KptLt. S. Strelow) on the night of December 30/31, 1942. She went to the bottom with almost all her complement of 280 crew, fifty-one Royal Marine Commandos and the WRNS officer plus four civilians. About fifty survivors rescued earlier from the SS Empire Shackelton were also on board. Two LCVs (Landing Craft Vehicles) Nos. 752 and 754, being carried by the Fidelity were also sunk. There were only ten men who survived the sinking of the Fidelity. The largest convoy that ever sailed was Convoy HX-300. It consisted of 167 ships. "

Laurent Laloup le vendredi 20 juillet 2007 - Demander un contact

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Dernière mise à jour le dimanche 03 septembre 2023

 

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