| | | | | Un Français Libre parmi 62924 | | | Edouard Joseph Magnier | |
Naissance : 17 juillet 1912 - Koné, Nouvelle-Calédonie
Point de départ vers la France Libre : Pacifique/Indien
Engagement dans la France Libre : Nlle Caledonie en ? 1941
Affectation principale : Terre DFL - Moyen Orient / BIMP
A participé à la bataille de Bir Hakeim
Grade atteint pendant la guerre et spécialité : adjudant
Décès à 86 ans - 1er janvier 1999 - Nouméa, Nouvelle Calédonie
Dossier administratif de résistant : GR 16 P 383335
Dans la liste de Bir Hakeim : ligne 951
Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 33258 |
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Edouard Joseph Magnier - son Livre ouvert ! « 1er Rang: Kallouche, Charpentier, Bouye, Benebig, Magnier, Chenu, Offlaville (pere), Vincent, Roux, Offlaville (fils), Dauphin, Lesson, Dorbritz, Gouharou, Henique, Chitty, Goyetch.
2eme Rand: Menaud, Lozach, Tremenci, Goyetch R., Mathieu, Millot, Winsky (Neugy), Millot Ch., Reveillon, Mangelon, Gouzene J.P.,
Manque sur cette photo: Cubadda, Dremon, Michel, Lozach L., Mercier, Lucas, Millot E., Saint-Pol, Parent, Dehaen, Roudeillac, Winschester, Gravina, Blanc, Charley, Courtot, Debien, Hervouet, Masson, Monnier, Pene, Paillot.«
Source Page Facebook Association Témoignage d’un Passé
Identification: Gérald Dehaen
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Laurent Laloup le mardi 19 décembre 2023 - Demander un contact La page d'origine de cette contribution Recherche sur cette contribution | |
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Edouard Joseph Sylvestre MAGNIER
Né le 17 juillet 1912 - Koné, 98860, , , Nouvelle Caledonie
Décédé le 1er janvier 1999 - Nouméa, 98800, , , Nouvelle Calédonie, à l'âge de 86 ans Laurent Laloup le samedi 12 septembre 2020 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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et Emile Léon "Mimile" LIMOUSIN
Né le 29 mars 1907 - Le Mont-Dore, 98810, Nouvelle-Calédonie, France
Décédé le 11 février 1975 - Nouméa, 98800, Nouvelle-Calédonie, France, à l'âge de 67 ans
Commerçant à Pouébo
" C’est après la Seconde Guerre mondiale que la Nouvelle-Calédonie que nous connaissons aujourd’hui se constitue, puisqu’à compter de l’année 1946, tous les Calédoniens participent d’une seule et même Cité.
Fin du système colonial
Le Conseil général élu en janvier 1945 donne la priorité aux réformes de la fiscalité et des structures économiques. Néanmoins, la « question indigène », comme on disait à l’époque, est abordée à l’initiative de deux volontaires du Bataillon du Pacifique membres de ce conseil, Emile Limousin et Édouard Magnier. Ils font adopter un vœu reconnaissant aux Mélanésiens la qualité de Français, une première dans cette enceinte, et demandent que ces derniers bénéficient eux aussi du programme des grands travaux publics et sociaux en préparation. De son côté, la population mélanésienne s’organise pour et par elle-même, avec une parfaite efficacité, afin de proposer et de défendre auprès des autorités locales et métropolitaines un programme d’émancipation politique, économique et sociale, qui s’imposera à tous. Deux organisations politiques (l’UICALO et l’AICLF), et un groupe plus réduit autour des grands chefs Vincent Bouquet et Henri Naisseline, sont à l’ouvrage jusqu’en 1956."
Photo Laurent Laloup le jeudi 12 mars 2020 - Demander un contact La page d'origine de cette contribution Recherche sur cette contribution | |
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Le Journal de guerre d’un caporal du bataillon des guitaristes (extraits)
Bir Hakeim (23 mai – 15 juin 1942)
par Gaston Rabot
www.france-libre.net
"Mercredi 3 juin 1942, 391e jour (et mardi 2 juin, 390e jour)
Il est environ trois heures de l’après-midi, je n’ai pas pu faire mon journal hier, la journée a été trop mauvaise. Hier matin, j’ai eu un peu de travail. Sur le coup de midi, le vent de sable s’est levé. Un temps épouvantable, on ne pouvait voir à 10 mètres. Sur le coup d’une heure de l’après-midi, trop de nouvelles. Une colonne allemande a fait une manoeuvre pour encercler notre position. À Bir Hakeim, grand branle-bas. Nos 75 tirent sans arrêt ; en revanche, on reçoit des pruneaux de 155. Obligé de rester dans le trou. Avec ça, les mouches, chaleur terrible, en un mot l’enfer. Non vraiment, je ne peux pas raconter toutes les souffrances que l’on supporte. On est tout dépaysé, notre bataillon n’est pas avec nous.
J’étais dans le trou avec Lemaître, Gazengel, Réveillon et, à un moment, l’adjudant Magnier. Ce dernier profite d’un moment d’accalmie pour aller aux nouvelles. Il revient en nous disant que notre bataillon fait demi-tour pour nous rejoindre, puis qu’il y a eu des morts, plusieurs blessés et plusieurs camions brûlés, cela ne nous met pas de baume au coeur. Il nous recommande de rester dans le trou toute la nuit. Nous sortons du trou en vitesse pour aller dans le camion chercher nos couvertures. J’en profite pour sortir ma petite valise contenant mon journal. Nous nous installons dans le trou ; nous sommes trois, nous sommes obligés de recouvrir le trou avec des couvertures, retenues par des sacs de sable pour que le vent de sable ne rentre pas. Quelle chaleur ! Je peux à peine me retourner, mes épaules touchent les côtés du trou. Gazengel est obligé de mettre ses jambes sur les miennes." laurent le mercredi 16 décembre 2015 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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