| | | | | Un Français Libre parmi 62924 | | | Pierre Maurice Jean Marie Coffinier | |
Naissance : 7 janvier 1909 - Valenciennes (59)
Activité antérieure : militaire
Point de départ vers la France Libre : Afrique
Engagement dans la France Libre : Somalie en novembre 1942
Affectation principale : Terre DFL - Moyen Orient / divers
Grade atteint pendant la guerre et spécialité : commandant
Dossier administratif de résistant : GR 16 P 135375
Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 11736 |
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Témoignage de son ami Joseph Sigward sur la fin de la résistance d'Obenheim Joseph SIGWARD, 4ème Brigade : « juste après le dernier assaut allemand, les assiégés n'ont plus de grenades près d'eux. Compte tenu du climat psychologique, personne ne bouge. Et là Armand prononce la phrase qui tue : « Allez René, montre-leur ! ». Sans hésitation, BAJAT sort du trou en direction de la cache. Il est aussitôt abattu par un allemand rescapé de la dernière attaque et qui était resté dans la neige le long des peupliers. BOUHADANA, enfermé dans sa rage et sa détresse, s'entêtera jusqu'à ce que COFFINIER, accompagné de deux parlementaires allemands avec drapeau blanc, lui ordonne au mégaphone de cesser le combat... »
divisionfrancaiselibre.eklablog.com Florence Roumeguere le jeudi 21 juin 2018 - Demander un contact La page d'origine de cette contribution Recherche sur cette contribution Réponse : René Emile BAJAT
Mort pour la France le 10-01-1945 (Obenheim (Bas Rhin), 67 - Bas-Rhin, France)
Né(e) le/en 03-03-1926 à Rive-de-Gier (42 - Loire, France)
Unité "bat de commandment n°4 1er division France libre"
Cause du décès "tué par éclats d'obus"
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Revue de la Fondation de la France libre N°30 (décembre 2008) " Regroupé à Djibouti en septembre 1940, le régiment de tirailleurs sénégalais de la Côte française des Somalis est dissous le 15 octobre, et le 1er bataillon est transformé en bataillon formant corps, le bataillon de tirailleurs sénégalais n° 1, sous les ordres du commandant Raynal et de son adjoint, le capitaine Taupin. Outre le lieutenant Oursel, officier des détails, et le médecin-lieutenant Moret, le lieutenant Labarsouque commande la Pre compagnie, le capitaine Pelletier la 2e compagnie, le capitaine Sambron la 3e compagnie et le capitaine Comnier la compagnie d'accompagnement. Le débarquement allié en Afrique du Nord, le 8 novembre 1942, laisse espérer un temps un ralliement pacifique de la colonie à la France combattante, vite déçu par l'attitude jusqu'au-boutiste des autorités, qui demeurent fidèles à Vichy. Révolté par cette passivité, alors que la nouvelle du ralliement de l'Afrique occidentale française parvient à Djibouti le 24 novembre, le bataillon décide de s'évader du territoire et de rejoindre le Somaliland. Le soir du 27 novembre, un détachement comprenant trois compagnies du BTS n° l4 et six batteries du groupe d'artillerie coloniale du lieutenant-colonel Hanneton5 quitte Djibouti. Les accompagnent un détachement de transport dirigé par le lieutenant Messager, un peloton hors rang emmené par le capitaine Le Hoanec, un service de l'artillerie commandé par le lieutenant Souleau, deux détachements d'isolés d'autres corps sous les ordres des capitaines Lanlo et Calvet, et un détachement de DCA commandé par le sergent-chef Vauclair6 . Au total, le détachement comprend 39 officiers, 252 sous-officiers, 270 hommes de troupe et 868 indigènes. Il fait mouvement vers le village de Loyada, où il passe la frontière, et atteint Zeilah le lendemain. Le lieutenant-colonel Raynal prend alors contact avec le détachement Somali des FFL du lieutenant-colonel Appert, commandant des Forces françaises libres de l'Est africain. Au total, c'est, avec le BTS n° 4 (futur bataillon de marche n° 24), 1 800 hommes qui ont passé la frontière pour rallier la France combattante." Laurent Laloup le samedi 27 décembre 2008 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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Extrait de "Journal de Marche" par Louis Chavanon Un officier allemand appelle « Coffinier » ! Le commandant ne bronche pas.L’Allemand renouvelle son appel, plus violent, notre commandant ne bronche toujours pas, puis un instant après, on entend : « Commandant Coffinier », ce que répète l’officier allemand. Quelques chars défilent devant nous. Nous ne saurons jamais si c’est leur façon de rendre les honneurs et si ces hommes ont la notion de l’honneur.
Source : perso.orange.fr/fondation.bm24-obenheim/ Laurent Laloup le vendredi 11 mai 2007 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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