Emile Pierre Adrien Clement Cantarel - Les Français Libres

Les Français Libres, de juin 1940 à juillet 1943

 
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Emile Pierre Adrien Clement Cantarel



Naissance : 10 aout 1909 - Flers (61)

Activité antérieure : militaire

Point de départ vers la France Libre : Metropole

Passage en Espagne : avril 1943

Engagement dans la France Libre : Tunisie en mai 1943

Affectation principale : Terre Leclerc - Afrique / chars

Grade atteint pendant la guerre et spécialité : commandant

Décès à 88 ans - 13 septembre 1997 - Cahors (46)

Dossier administratif de résistant : GR 16 P 104526

Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 9343

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Emile Pierre Adrien Clement Cantarel - son Livre ouvert !
 

Croix de Guerre, attribuées à :
CANTAREL Emile du 501ème R C C.

LEFEBVRE le samedi 29 avril 2023 - Demander un contact

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Nom : CANTAREL
Prénom : Emile Pierre Adrien Clement
Sexe : M
Jour de naissance : 10
Mois de naissance : 08
Année de naissance : 1909
Code insee naissance : 61169
Commune de naissance : Flers
Pays de naissance : FRANCE
Jour de décès : 13
Mois de décès : 09
Année de décès : 1997
Code insee deces : 46042
Commune de décès : Cahors
Pays de décès : FRANCE

Fichiers des personnes décédées établi par l'INSEE

Laurent Laloup le jeudi 18 novembre 2021 - Demander un contact

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Michel Colment est passé en Espagne le 4 mai 1943 avec un groupe Cantarel, de Witasse, Malaguti, Delpierre et d'autres dont mon père Van De Velde Gilbert, évadé belge les ayant rejoint en Andorre (Hotel Coma)
Tout est confirmé dans un carnet de voyage de mon père..

Michel Van De Velde le samedi 23 mai 2020 - Demander un contact

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Réponse :

Je lis dans la page de Cantarel " Le 22 avril, vers 11 heures, ils franchissent la frontière, au port de Siguer. Ils amorçent ensuite une pénible descente vers la principauté. Le groupe arrive à Ordino dans la soirée et s'installe à l'hôtel Coma. de nombreux juifs séjournent dans cet établissement. Les fugitifs du général Cantarel restent là jusqu'au 27 avril, en raison des fêtes pascales. Le 28 avril, le groupe Cantarel rejoint seul San Julia de Loria pour arriver le 5-mai à Manresa ..."

San Julia de Loria est en Andore et Manresa est en Espagne, donc ça correspond bien à ce que dit votre père. Mais je suppose que le passage en Andore est considéré comme un passage en Espagne


www.ladepeche.fr 

" Comme chacun le sait, durant la 2e guerre mondiale, l'Ariège a abrité de nombreux officiers de l'armée française, en lutte contre l'oppresseur nazi. Certains sont plus connus que d'autres. Le capitaine Cantarel, devenu général par la suite, fait en quelque sorte partie de ces oubliés de l'histoire, même s'il compte à son actif de multiples exploits.

Emile Cantarel s'est entièrement consacré pendant 42-ans au service de l'armée et de la France. Des circonstances particulières l'ont amené en 1943, à traverser l'Ariège, en provenance de Toulouse.
Franchissement périlleux des Pyrénées

Emile Cantarel, en congé d'armistice, a dès 1940-1941, des entretiens avec d'anciens militaires, dont il connaît les sentiments, ayant appartenu à des régiments de chars. parmi les plus connus on peut citer le commandant Malaguti, le colonel Chapuis, le capitaine Delepierre...

A ce moment là, le général effectue plusieurs voyages à Paris pour y rencontrer des membres de l'armée secrète. Avec l'appui de Français de Londres, de l'Intelligence service britannique qui finance l'opération, il est chargé de diriger une chaîne d'évasion par les Pyrénées, vers l'Espagne. Le général Cantarel arrive ainsi le 20-avril 1943 à Toulouse. Il rejoint Foix par le train le lendemain et s'installer au café du Rocher. Il quitte Foix à pied avec un guide, en empruntant la route de Prayols, Amplaing, Arignac et Tarascon, qui est surveillée par des patrouilles allemandes. Avec les autres participants à l'évasion qui l'ont rejoint, il arrive vers 20 heures dans les ruines du château de Miglos. Par précaution, tous ont reçu des instructions sévères : interdit de parler et de fumer. Leur tenue vestimentaire est légère. Un autre groupe arrive alors qui comprend une dame âgée d'environ 50 ans, responsable d'un réseau, recherchée et susceptible d'être arrêtée.

Le général Cantarel est en possession de 2-enveloppes contenant de l'argent pour payer le guide. Le 21 avril 1943, tous les participants à l'évasion se mettent en route vers l'Andorre. La progression est délicate en raison de la neige et des possibles patrouilles.

Le 22 avril, vers 11 heures, ils franchissent la frontière, au port de Siguer. Ils amorçent ensuite une pénible descente vers la principauté. Le groupe arrive à Ordino dans la soirée et s'installe à l'hôtel Coma. de nombreux juifs séjournent dans cet établissement. Les fugitifs du général Cantarel restent là jusqu'au 27 avril, en raison des fêtes pascales.

Un périple en Espagne

Le 28 avril, le groupe Cantarel rejoint seul San Julia de Loria pour arriver le 5-mai à Manresa.. le 9-mai, Cantarel se rend à Lleida (ville aujourd'hui jumelée avec Foix) pour recevoir les instructions officielles Puis, quelques jours après, depuis Barcelone, en bateau, ils parviennent à rejoindre Oran, après 3-jours de mer. L'un des participants à cette chaîne d'évasion, aux comportements bizarres, a été arrêté à Oran. De là Cantarel et ses compagnons ont pris le train pour Alger où ils sont arrivés le 18-mai 1943. En juillet, Emile Cantarel, reçoit du général Leclerc le commandement du 501-e Régiment de chars de combats. En mai 44, il se distingue avec son régiment dans des combats en Normandie. Une place d'Andelot porte d'ailleurs son nom. Il participe ensuite à des combats en Alsace et participe à la prise de Bertchesgaden. Emile Cantarel est mort à Cahors en septembre 1997, à l'âge de 88 ans.
Ariégeois par hasard

Sans la guerre, le général Cantarel n'aurait sans doute pas connu l'Ariège. Il y a quelques années, il est revenu dans le département pour revoir les lieux de son itinéraire d'évasion.

Lors de la cérémonie donnée en l'église SaintLouis des Invalides, en novembre 1997, quelques jours après sa mort, le révérend père Maurice Cordier, aumônier de la 2e DB, président national des Evadés de France, qui a participé à l'inauguration du monument de la Liberté à Tarascon-sur-Ariège, a prononcé une homélie en ces termes : «Rarement la vie d'un homme n'aura soulevé autant de louanges, autant d'estime, autant d'admiration. Le général de Gaulle et le général Leclerc l'estimaient profondément».

Ses obsèques ont été célébrées dans le village de Bournaguet (Lot). Le général Cantarel avait choisi de se retirer dans le Lot.

Il fait à tout jamais partie de ces hommes, qui ont choisi de souffrir pour traverser les Pyrénées afin de redonner au pays la liberté qu'il méritait."

Laurent Laloup le jeudi 31 octobre 2019 - Demander un contact

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Emile Cantarel



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Laurent Laloup le jeudi 31 octobre 2019 - Demander un contact

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" Le 1er juillet 1943 à Sabratha en Libye, Émile Cantarel, reçoit du général Leclerc le commandement du 501e Régiment de chars de combats. En mai 1944, il se distingue avec son régiment dans des combats en Normandie. Il participe ensuite à des combats en Alsace et à la prise de Bertchesgaden. Il participa aussi aux guerres d'Indochine et d'Algérie

Le maire a tenu aussi à rappeler que ce lieu, la place Emile-Cantarel, était déjà porteur de mémoire. Sur tout cet espace, il y avait des maisons et des ruelles. Les propriétaires dont certains étaient présents ce 8 octobre, s'en sont séparés et parfois en ont fait don à la commune. Le général Cantarel avait choisi de se retirer dans le Lot, où il est décédé en septembre 1997. Ses obsèques ont été célébrées dans ce hameau du Bournaguet."

Jacques Ghémard le dimanche 22 avril 2018 - Demander un contact

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CARNET DE RETOUR AVEC LA DIVISION LECLERC une oeuvre de BOURDAN PIERRE

" Sur le flanc est, c'était la même chose. Les chars étaient immobilisés, en position d'attente ; ils étaient plus un problème qu'une aide : problème d'entretien constant et de camouflage. Au village de Doncière, au début d'octobre, le commandant Cantarel, un tankiste né, qui, à trente-deux ans, avait reçu le commandement du 501e de Chars, était arrosé dans son creux de vallée par les pièces allemandes montées sur la colline, aux bords du chateau de Doncières, ripostait au canon, planquait ses chars et, comme tout le monde, attendait."

laurent le samedi 18 juillet 2009 - Demander un contact

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L' ESCADRON - CARNETS D UN CAVALIER de JACQUES BRANET

" Je vois le général à son P.C. de Latour-Maubourg. Entretien personnel d'une demi-heure. Nous parlons du colonel, dont la bravoure n'est pas en cause, mais que le régiment n'a pas accepté. Ma canne soulignant ma blessure, et ma blessure donnant peut-être du poids à mes instances, je finis par obtenir du général la tête du colonel, et son remplacement par Cantarel.
Les hommes ont envie de repartir. Paris les a séduits, puis un peu dégoûtés."

Laurent Laloup le mardi 24 février 2009 - Demander un contact

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" Août 1944, la Libération de Villejust.

Le 23 août 1944, la 2ème DB (division blindée) du Général Leclerc est à Rambouillet.
Le GT " V ", placé sous les ordres du Colonel Billotte, est scindé en deux sous-groupements dont les " têtes " se trouvent dans la région de Limours/Briis-sous-Forges, sous les ordres du Colonel Warabiot et du Commandant Putz.

Le jeudi 24 août à 7 heures, le Colonel Billotte donne l’ordre au Commandant Cantarel de s’emparer le plus tôt possible du pont de Longjumeau. La colonne part en avant-garde suivant l’itinéraire Briis-sous-Forges, Villejust, Saulx-les-Chartreux."

asso.villejust.free.fr 

Laurent Laloup le lundi 22 décembre 2008 - Demander un contact

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Livre :

18 Juin 1940 /25 Aout 1944/21 Novembre 1944/6 Mai 1945 //501 Rcc Avec Citation Attribuant La Croix De La Liberation
Auteur : Commandant Cantarel

Laurent Laloup le lundi 22 décembre 2008 - Demander un contact

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Le chemin le plus long Par Pierre Quillet  :

Laurent Laloup le lundi 22 décembre 2008 - Demander un contact

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" Je demande au Commandant Cantarel de nous prêter des chars pour nous aider à aller récupérer nos gars. Le Commandant Cantarel me prête gracieusement deux chars. Il me dit : "Je le fais parce que c'est vous", me demande que ses chars ne dépassent pas une certaine ligne; il aurait des reproches par les autorités supérieures si l'un d'eux était mis hors de combat. Nous retournons mais même avec l'appui des chars, nous ne pouvons atteindre les deux manquants."

war.megabaze.com 

Chef de Bataillon H. Teisseire Aimé

Mes Campagnes
Un Compagnon de la Libération raconte
Guerre 1939 - 1945
GUERRE d’INDOCHINE
Témoignage

Laurent Laloup le samedi 22 novembre 2008 - Demander un contact

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Journal de marche du BM 3

www.marinettes-et-rochambelles.com  :

" 21 FEVRIER Liaison avec la Direction du Service de Santé des T.M.
Liaison avec l'Hopital Marie Feuillet.
Noyade de cinq militaires des 22e F.T.A.
Visite au Médecin s/Lt ?EAU? (fracture du crâne), médecin au 12e R.C.A. hospitalisé à Marie Feuillet.
Accident du Commandant CANTAREL, commandant au 501e R.C.C."

Laurent Laloup le jeudi 20 novembre 2008 - Demander un contact

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www.ordredelaliberation.fr  

" Le 501e RCC

Depuis le mois de décembre 1941, en Angleterre, une 3e Compagnie de Chars a été constituée, à Camberley, par le lieutenant Branet ; celle-ci parvient au Caire, en mai 1943, où la retrouve la 2e Compagnie qui a quitté le Tchad trois mois auparavant. Les deux compagnies parviennent ensemble à Sabratha, en Tripolitaine, où elles rejoignent la 1ère Compagnie. Rassemblées, elles donnent naissance, le 1er juillet 1943, au 501e Régiment de chars de combat (501e RCC), du nom du plus ancien régiment de chars de combat français. Le chef de bataillon Cantarel en prend le commandement. Le Régiment reçoit l'appui de nombreux volontaires engagés au Maroc, en Algérie, ainsi que des évadés de France."

Laloup laurent le mardi 21 août 2007 - Demander un contact

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La charge de la 2e DB sur Strasbourg à travers le massif des Vosges en 1944

www.checkpoint-online.ch 

" Laissons maintenant le général Rouvillois raconter cette journée mémorable. "Dans l’aurore tardive du 23, débouche la charge. Strasbourg 35 kilomètres, la pluie cingle les visages des chefs de char dressés hors de leurs tourelles et aveugle les tireurs derrière leurs périscopes. Les sous-groupements Massu, Putz, Cantarel sont rapidement sur la ligne des forts où ils se heurtent à une solide défense couverte par un fossé antichar. Tandis que Putz franchit de vive force le fossé antichars, le sous-groupement Rouvillois sur l’axe nord avance sans rencontrer de résistance sérieuse. Accélérant encore le rythme, le détachement arrive en vue de la ligne des forts. Les véhicules ennemis qui se profilent sur la crête, les tirailleurs qui gagnent en courant les tranchées pleines d’eau, sont traités au canon et à la mitrailleuse. La résistance adverse est de courte durée. Sous la pluie battante, la course continue et, très vite, c’est le déboulé à travers les rues de Strasbourg. La surprise est totale. Sans tarder, la réaction ennemie s’amorce : de certaines fenêtres, de quelques coins de rue, puis des casernes transformées en points d’appui, partent des coups de feu sur les équipages peu nombreux dans la capitale alsacienne."

Laloup laurent le mardi 21 août 2007 - Demander un contact

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Dernière mise à jour le samedi 29 avril 2023

 

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