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| Gabrielle Madeleine Françoise Marie Buffet épouse Picabia | |
Naissance : 21 novembre 1881 - Fontainebleau (77)
Activité antérieure : liberal / cadre
Point de départ vers la France Libre : Metropole
Engagement dans la France Libre : en décembre 1940
Affectation principale : Résistance intérieure / Brandy
Grade atteint pendant la guerre et spécialité : P2
Décès à 104 ans - 7 décembre 1985 -
Dossier administratif de résistant : GR 16 P 96339
Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 8629 |
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Confusion -de ma part - entre plusieurs resistantes, de la même famille certainement GR 16 P 475001 | PICABIA ( Jeannine Gabrielle Cécile ) | 1916-06-19 | Saint-Cloud | Seine-et-Oise | FRANCE Laurent Laloup le vendredi 05 juin 2020 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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Gabrielle Bouveur Bonjour,
Dans le cadre de la recherche de mes ancêtres, j'essaye d'obtenir des renseignements sur ma cousine éloignée. Je sais qu'elle faisait partie du réseau Gloria. Elle travaillait à la mairie de Lille et fût arrêtée par la police Allemande.
J'aimerais avoir des renseignements approfondis sur ses activités dans le cadre de ses missions au sein du reseau.
Pouvez vous me donner des informations à ce sujet ou des liens me permettant de les obtenir?
Je vous remercie par avance.
Cordialementt.
Jean François Bouveur
06 46 58 06 42 Bouveur le mardi 01 avril 2014 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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légende photo 3 La troisième photographie de ce document porte une légende erronée.
En effet la personne qui se trouve à côté de Picabia n'est pas Gabrielle Buffet mais Germaine Everling.
J'ai signalé l'erreur au site dadaparis.blogspot.com d'où vous avez puisé le document. Lequel site a modifié la légende en conséquence.
Cordialement.
Michel LeBrun-Franzaroli Michel LeBrun-Franzaroli le jeudi 22 août 2013 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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correction et 2 photographies 1°/ Depuis toujours le prénom de Gabrielle Buffet est orthographié "Gabrielle" alors que ce devrait être "Gabrièle" (extrait de naissance).
2°/ Gabrielle Cécile Picabia, dite Jeanine était la fille de Francis Picabia et de Gabrièle Buffet-Picabia. Elle fut la fondatrice du réseau GLORIA SMH, mais elle le dirigea avec Jacques Legrand. Le nom de guerre de Gabrielle Cécile Picabia était GLORIA, et plus tard à Londres Marie Monnet.
3°/ Photographie de Jeanine Picabia, Marseille 1941.
4°/ Gabrièle Buffet (à gauche sur la photographie), Madrid 23 mai 1943, sur le chemin de Londres. Elle à 63 ans. Patrick Bailly-Cowell le vendredi 23 juillet 2010 Recherche sur cette contribution | |
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Correction A propos de la photographie : "Francis Picabia et Gabrielle Buffet (1921). Il ne s'agit pas de Gabrielle Buffet mais de Germaine Everling qui fut une compagne de Francis Picabia. Bailly-Cowell le lundi 01 février 2010 Recherche sur cette contribution | |
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Réseau Gloria Un article de Wikipédia
"Le réseau Gloria SMH est un réseau de résistance à l'occupation allemande pendant la Seconde Guerre mondiale.
Ce réseau, fondé par Jacques Legrand (résistant) (ingénieur chimiste) et Gabrielle Picabia, (fille du peintre), comptait également parmi ses membres Alfred Péron, normalien et professeur d'anglais au Lycée Buffon. Ce réseau Gloria SMH (His Majesty Service) dépendait de l’Intelligence britannique, en liaison avec les services du SOE. Il avait pour mission de recueillir des informations militaires, navales sur l'occupant. Il comptait parmi ses membres des intellectuels, des cadres, des artistes, dont un graveur très utile pour les faux papiers..." Laurent Laloup le mercredi 15 avril 2009 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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David Murphy, « « Paddy fait de la résistance. » Les Irlandais dans la Résistance française et la section F du SOE, 1940-1945 » Revue historique des armées, 253 | 2008, [En ligne], mis en ligne le 12 novembre 2008. URL : Consulté le 05 janvier 2009.
"Parmi la gamme des activités de Résistance, ce fut essentiellement à la collecte du renseignement et à l’animation des réseaux d’évasion que se consacrèrent les Irlandais. Le plus connu des résistants irlandais est certainement Samuel Beckett qui vivait à Paris quand la guerre éclata. Il fut recruté dans la Résistance par son ami Alfred Péron, qu’il connaissait depuis leurs années d’études à Trinity College à Dublin, et intégra un réseau de renseignement du nom de « Gloria SMH » 12. Promu sergent-chef au sein du réseau, il y apparaît par la suite sous-lieutenant. Sous le pseudo de « Samson », il rejoignit « Gloria SMH » en septembre 1941 pour y demeurer actif pendant un an. Plus de 200 personnes furent associées aux activités de ce réseau 13. Ce dernier, embryonnaire en novembre 1940, ne fut réellement constitué qu’en janvier 1941 par Jeannine Gabrielle Picabia, fille du peintre, qui utilisait le nom de code de « Gloria » et était connue de Beckett bien avant la guerre. Le co-fondateur, Jacques Legrand, opérait, quant à lui, sous le nom de « SMH ». « Gloria SMH », fondé conjointement par l’Intelligence Service, en liaison avec les services du SOE, et l’organisation polonaise libre de Londres, fut ensuite entièrement pris en main par le SOE " Laurent Laloup le lundi 05 janvier 2009 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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delmax.free.fr
"... Le passage de Morthomier est abandonné aussitôt, mais Dubar trouvera très vite deux autres points de passage sur la ligne de démarcation qui tiendront longtemps. Le premier se trouve à La Haye-Descartes (Indre-et-Loire), le second à Chalon-sur-Saône (Saône-et-Loire). A La Haye-Descartes, le passeur est Jean-Paul Maillet, et le logement est offert par Fernande Delobel, qui y exploite « l'hôtel Moderne » (16). Nous verrons plus loin que Dubar a recruté d'autres personnes dans la région de La Haye-Descartes. C'est là qu'il fait la connaissance, début 1941, de Maya Desgranges, speakerine et comédienne (17). Malgré le fait qu'il répugne « travailler » avec des femmes, il accepte ses propositions de collaboration. Par elle, il est présenté à la journaliste Gabrielle Picabia, qui habite le même immeuble, à Paris, que Maya Desgranges (18). Mme Picabia, qui sera connue dans le réseau comme « Mme Pic » ou « la Dame de Pique », introduit Dubar auprès de quelques résistants de Chalon-sur-Saône. Ceci se passe à une époque mal définie dans les sources : parfois il est question de mars 1941, parfois de juillet-août 1941. Nous optons pour la seconde période, étant donné que Dubar et Joly sont chargés à cette époque d'une mission pour laquelle le passage de Chalon-sur-Saône sera capital.
....." Laurent Laloup le samedi 21 juin 2008 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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" L'appartement du Cours Gambetta que nous avons quitté est à présent utilisé pour abriter les voyageurs de la filière évasion: équipages d'avions abattus, réfugiés, agents en fin de mission, etc., à qui l'équipe d'André Jarrot a fait franchir la ligne de démarcation, et que les courriers de BRANDY, comme la "tante Gabrielle" - Gabrielle Picabia - première femme du peintre Picabia - ou Monique Spicquel, escortent de Paris aux Pyrénées, où ils sont remis aux passeurs qui les mènent à Barcelone." Laurent Laloup le dimanche 12 août 2007 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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