Roman Romain Kacew alias Gary - Les Français Libres

Les Français Libres, de juin 1940 à juillet 1943

 
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Roman Romain Kacew alias Gary



Naissance : 8 mai 1914 - Vilnius, Lituanie

Activité antérieure : liberal / cadre

Point de départ vers la France Libre : Metropole

Engagement dans la France Libre : Londres en juillet 1940

Affectation principale : FAFL / Lorraine

Grade atteint pendant la guerre et spécialité : capitaine

Décès à 66 ans - 2 décembre 1980 - Paris

Dossier administratif de résistant : GR 16 P 319323

Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 20592

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Roman Romain Kacew alias Gary - son Livre ouvert !
 

interviewé dans le film de Roger Stéphane

à 36 30



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Florence Roumeguere le samedi 02 décembre 2023 - Demander un contact

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Videz vos poches. Histoire du Groupe Lorraine - p.m. lambermont

« …. Quand un équipage français est « posté » à cette base, il est généralement accueilli, après le rigoureux contrôle du poste de police où veillent deux M.P. anglais, par un personnage aux allures paternelles. Letessier prend de suite les nouveaux venus sous sa coupe et les met vite à l'aise. Il leur explique d'abord l'importance de ses fonctions. Ancien combattant de la première guerre mondiale, il est chargé du bureau du groupe Lorraine. Il mène ses affaires rondement, tout en restant une bienveillante mère-poule. C'est, dans le civil, un prospère meunier de Normandie « couché tard et levé tôt » comme dit la chanson de Botrel. Grand, les cheveux grisonnants, la moustache conquérante, avec sa légère bedaine et son uniforme rutilant, on le prendrait volontiers pour un général, il est sous-lieutenant. A ses heures perdues, il excelle dans les calembours et les contre-pèteries, ce qui n'a pas toujours le don de plaire. Alors, Letessier, incompris, haussant les épaules, s'en va dans la proche campagne... Bientôt, les carreaux des huttes vibrent sous la sonnerie des airs de chasse qu'il joue avec conviction, car dans ses bagages, il a ramené de France une trompe toute bosselée sur laquelle il s'exerce avec plus ou moins de bonheur.
Bon Dieu ! encore celui-là. Il ne nous foutera jamais la paix, dit Gary sans élever la voix, Gary l'écrivain du Lorraine.
Il griffonne déjà dans un calepin la première ébauche du bouquin qui devait, peu après la libération, obtenir le prix de la Critique « Education Européenne ».
Quant à Claude Teyssier, il se bouche les oreilles et murmure
- Quel Béotien !
Teyssier est un bien curieux capitaine. Brillant ingénieur d'aéronautique, il ne se pique de rien mais a des lumières sur tout. Abandonnant la vie facile qu'il menait en Amerique du Sud, il est venu à Londres s'engager dans les Forces Aériennes Libres. La limite d'âge pour les vols de guerre est fixée à 35 ans dans la Royal Air Force. Teyssier est très tangent, mais possède des artères de vingt ans.
Il se fit très persuasif et réussit à forcer la décision de l'Air Ministry.
Dans sa hutte d'Hartford Bridge, il fait transporter un Piano à queue et les soirs, il joue des études de Chopin.
Pour comble d'originalité, ce mélomane s'affuble d'un navigateur couleur d'ébène, du vif argent dans les veines et des cheveux noirs et crépus, Tiky. Venu tout droit de Madagascar, on le dit petit cousin de feu la reine Ranavalo.
Claude Teyssier n'a pas fini de surprendre la R.A.F. ! »

Laurent Laloup le lundi 24 avril 2023 - Demander un contact

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Dossier au SHD

Documents extraits de son dossier militaire 

bertrand le dimanche 25 avril 2021 - Demander un contact

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Préface de Romain Gary à Ciel de Sable de Claude Raoul Duval

Je les ai tous connus.
Ils venaient un à un, individuellement — et je souligne ce mot, car c'est peut-être ce qui caractérisait le plus fortement ces hommes libres. Pour devenir des Français Libres, vous voliez des avions, traversiez la Manche en kayak et les océans dans les soutes a charbon: Colcanap, seize ans, que de Gaulle envoya au lycée, commandant Lanusse, qui traversa le Sahara à pied, partant de Zinder pour aboutir au Cameroun, Gratien, évadé trois fois de prison à Pau où l'on avait fini par garder ses chaussures et qui franchit les Pyrénées pieds nus... Et ceux dont Claude Raoul-Duval parle dans ces pages : Castelain, Léon, Littolff, Tulasne, Dervitte, Preziosi, ceux de l'escadrille Alsace en Libye et qui sont allés mourir en Russie, les premiers éléments de l'escadrille Normandie.
Il est difficile de comprendre aujourd'hui ce que signifiaient en 1940-1941, les mots « Français Libres », en termes de déchirement, de rupture et de fidélité. Nous vivons une époque de cocasse facilité, oh les « révolutionnaires » refusent le risque et réclament le droit de détruire sans être menacés eux-mêmes. Pour nous, il fallait rompre avec la France du moment pour demeurer fidèles à la France historique, celle de Montaigne, de Gambetta et de Jaurès, ou, comme devait écrire de Gaulle, pour demeurer fidèles « à une certaine idée de la France ». Pour assumer cette fidélité, il nous avait fallu accepter d'être déserteurs, condamnés à mort par contumace, abandonner nos familles, se joindre aux troupes britanniques au moment même où la flotte anglaise venait de couler la flotte française à Mers-el-Kébir. Tout cela alors que plus de 80 % des Français étaient fermement derrière Pétain. Il fallait avoir une foi singulièrement sourde et aveugle pour être sûr d'être fidèle. Je ne prétends point que chacun de nous s'était livré à ces douloureux examens de conscience avant de « déserter ». Ce ne fut certainement pas mon cas. Ma décision fut organique. Elle avait été prise pour moi bien avant ma naissance, alors que mes ancêtres campaient dans la steppe de l'Asie centrale, par les encyclopédistes, les poètes, les cathédrales, la Révolution et par tout ce que j'avais appris au lycée de Nice des hommes tels que le professeur Louis Oriol. J'avais « déserté » de mon escadre de l'Ecole de l'Air où j'étais instructeur pour passer en Angleterre « dans le mouvement », en quelque sorte, et j'entends par là le mouvement historique, le brassage des siècles.
Les Français Libres du Ciel de Sable n'étaient ni plus héroïques, ni meilleurs que les pilotes de la bataille de France, ou de la bataille d'Angleterre. Mais les conditions psychologiques de notre combat étaient les plus dures. Il nous fallait accepter d'être qualifiés — et pas seulement en France occupée, mais en Angleterre même — de « mercenaires », d'« aventuriers » et d'être couverts d'injures par tous les orifices buccaux du « pays légal ». Nous haussions les épaules, mais notre comportement était souvent marqué par ce harcèlement et, à nos propres yeux, nous étions ceux « qui n'ont plus rien à perdre ». Nous avions, des « irréguliers », un certain côté « desperado », boucanier, et en conséquence, évidemment, la discipline n'était pas notre caractéristique principale. Mon chemin de sergent à capitaine fut marqué d'une rétrogradation, de je ne sais combien de jours d'arrêt de rigueur, et même d'une sorte de Conseil de guerre, lorsque, après avoir tiré à la courte paille à l'hôtel Saint-Georges, à Odiham, je fus chargé d'exécuter le chef de l'état-major de l'Air, qui empêchait notre départ en escadrille. Cela ne se fit point, heureusement. Dès qu'on nous empêchait de nous battre — la seule justification de notre « désertion » — nous devenions impossibles. Et certains d'entre nous, très peu nombreux, il est vrai, n'arrivaient pas à se faire à l'idée d'être des « hors la loi ». L'un d'eux avait même fini par rejoindre les forces de Vichy avec son avion. De tels incidents, plus les trois mille soldats anglais tués par les Français du général Dentz, en Syrie, ne nous rendaient pas populaires dans les mess britanniques, et le général Monclar eut le crâne fendu par une bouteille, dans une rue de Beyrouth. C'était l'époque difficile de 1942, celle dont parle Ciel de Sable, lorsque le général de Larminat nous soutenait le moral par des ordres du jour dignes de Hugo. Nous ne tenions, au fond, qu'à coups de littérature : entendez par là tout ce que les Français savent se raconter sur eux-mêmes, de Jeanne d'Arc à Napoléon. Le mythe de cette France historique était notre pain quotidien et de Gaulle avait juste ce qu'il fallait d'un gisant de cathédrale et d'armure de chevalier pour soutenir notre inspiration. On continuait à regarder les autres de haut, chacun avait dix siècles d'histoire dans sa giberne. Il y eut l'horreur des luttes fratricides, au Gabon et en Syrie, avec toute la haine et la fureur des guerres civiles, et pour moi, cela alla un jour jusqu'au duel au couteau, dans une ruelle de Damas. Le feu sacré grésillait parfois comme les flammes de l'enfer. Il y avait cependant aussi de très grandes joies. Une lettre qui vous parvenait de France : « de tout cœur avec M », et signée des prénoms de vos camarades de lycée et d'université. Les faveurs de filles : le battle dress bleu foncé, avec l'écusson « France » et cette réputation de têtes brûlées, quand on a vingt ans... On échappait au mariage en se faisant tuer à temps. Nous étions très peu nombreux, jusqu’en 1942, et nous étions ainsi de toutes les fêtes : de la bataille de Londres à Koufra, de Khartoum à Bir Hakeim, de Libye en Erythrée, ciel russe... et les survivants devenaient de plus en plus frères, petit groupe de jeunes gens qui se déplumait à chaque aube. Mais je ne suis pas tellement sûr, en cette année 1978, que c'est nous qui sommes les vivants, vous, Goumenc, Bouquillard, Flury-Hérard et tous les autres, les morts. Et si la tristesse me prend à la gorge au moment où j'écris ces mots et que je vous vois devant moi, Boisrouvray, Roquère, Crouzet, ce n'est pas parce que vous n'êtes plus la : c'est parce que c'est une très grande solitude, pour un homme, en 1977, d'être encore un Français Libre. Cela va mal avec l'esprit des temps.
Pour le reste... je vous retrouve souvent, vous, les « disparus ». Il m'arrive de louer un avion et d'aller vous voir. A Takoradi, au Ghana, je retrouve Delaroche, Jabin, Prébost, tombés en 1942. Ils me disent que j'ai vachement vieilli. Sur ce bout de désert libyen d'où partaient jadis nos « Blenheims », ma mémoire ne cesse de rôder et je remercie Raoul-Duval pour ces pages qui m'ont aidé à... revenir. J'écoute votre silence, Mateharski, Daligot, Lévy, Brunschwig, de Thuisy, et ce silence est plein de rires et de confiance dans cette France exemplaire que personne ne verra jamais : le pays du délire matérialiste vous a été épargné. Sur le terrain de Gordon's Tree, à Khartoum, je suis allé voir Antomarchi, soignant sa tuberculose entre deux missions, et les policiers soudanais me regardaient avec le respect dû aux fous, car ils croyaient que je me parlais à moi-même. Et n'a-t-on pas retrouvé, il y a dix ans, les momies de Le Calvez, Devin et Claron, préservés par les sables du Tibesti pendant vingt ans? Je me suis posé à l'oasis d'Ounianga Kebir et vous êtes toujours venus au rendez-vous. Il n'est pas facile de retrouver vos tombes dans la forêt du Congo où vous êtes tombés, Hirlemann, Bécquart. Il faut deux jours de piste. Et sur ces verts terrains d'Angleterre dont vous vous êtes un jour envolés pour ne plus jamais revenir, Laurent, Labouchère, Max Guedj, Fayolle, Maridor, Mouchotte, j'ai su, moi, oui, j'ai su vous faire revenir, vos vingt ans intacts, avec un peu de mémoire et beaucoup de fidélité.
Vous n'étiez pas encore archaïques. La France n'était pas pour vous une simple structure sociologique. Vous apparteniez encore à une culture où l'on ne parlait pas d'un homme comme d'un cadre. Vous étiez plus proches de ce qui fut toujours, à travers les âges, une civilisation, c'est-à-dire, avant tout, un imaginaire, parce que seules les mythologies assumées et incarnées peuvent porter l'homme au-delà de lui-même et le créer peut-être un jour tel qu'il se rêve.

Ce qui me touche, dans le livre de Claude Raoul-Duval, c'est qu'il a su abolir le temps, triompher de l'oubli — et c'est soudain comme si personne n'était mort.

Romain GARY

LE BRETON Thierry le mardi 15 septembre 2020 - Demander un contact

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Photographie de Romain GARY aux obsèques du Général de Gaulle

LE BRETON Thierry le lundi 27 juillet 2020 - Demander un contact

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Registres de nationalité ouverts par les Forces françaises libres à Londres

BICKWELL, Leslie Blanche
Naissance : 6 juin 1904.
Résidence : lieu non indiqué.
Type d'acte : acquisition de la nationalité française par mariage.
Date de déclaration : 9 janvier 1945.
Conjoint : DE KACEW, GARY, Romain.
Mariage : date non indiquée.
Remarque : "intendance Air-Terre"

Laurent Laloup le vendredi 04 octobre 2019 - Demander un contact

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Réponse :

Lesley Blanch, MBE, FRSL (6 June 1904, London – 7 May 2007, Garavan near Menton, France[1]) was an English writer, historian and traveller. She is best known for The Wilder Shores of Love, about Isabel Burton (who married the Arabist and explorer Richard), Jane Digby el-Mezrab (Lady Ellenborough, the society beauty who ended up living in the Syrian desert with a Bedouin chieftain), Aimée du Buc de Rivéry (a French convent girl captured by pirates and sent to the Sultan's harem in Istanbul), and Isabelle Eberhardt (a Swiss linguist who felt most comfortable in boy's clothes and lived among the Arabs in the Sahara). [...] She married Robert Alan Wimberley Bicknell in 1930 and they were divorced in 1941


" Souvenirs de guerre
par Léon Wainstein (1916-1995)

En octobre 1937, je suis appelé sous les drapeaux à la 31e escadre à Tours, et me trouve affecté comme secrétaire au G.B.2. C'est le commandant Mailloux, un ancien compagnon de Mermoz, qui commande le Groupe et, c'est avec lui que je prendrai mon baptême de l'air, sur Bloch 200. Il disparaîtra dans une tragique collision au-dessus du terrain de Parçay-Meslay. Un an plus tard, je suis muté à l'école civile de pilotage de Royan Médis, où je serai nommé sergent. Je fais partie du personnel militaire d'encadrement.

Le départ vers l'Angleterre

Vers fin juin 1940, les Allemands sont aux portes de Nantes, et la nervosité commence à se faire sentir parmi le personnel. Mon camarade Allegret, que je trouve, un jour, à l'heure du déjeuner, me propose de l'accompagner à Agen où il allait effectuer une liaison aérienne. Nous décollons dans l'heure qui suit. ..."

www.francaislibres.fr 

St Athan 1940, de gauche à droite : Léon Wainstein Henri Boquillard, Forsans, Kacew et Daligot. (Photo origine inconnue)



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Laurent Laloup le mercredi 25 septembre 2019 - Demander un contact

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Dossier per l'Armée de l'air

Gary Romain Autre Nom Kacew Romain grade capitaine naissance 08/05/1914 deces 2/12/1980 fin service 01/07/1967 N.dossier DE 2014 ZL 170 1188

Cristina le samedi 06 janvier 2018

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La Promesse de l'aube, Le film de Eric Barbier vient de sortir

Bande annonce :
Vous y découvrirez une époustouflante reconstitution de la mission de Romain Gary au sein du Groupe Lorraine en Janvier 1944  :
" (il) se distingue particulièrement le 25 janvier 1944 quand, leader d'une formation de six appareils, il est blessé par un éclat d'obus en même temps que son coéquipier pilote Arnaud Langer lui-même gravement touché aux yeux. Malgré sa blessure, il guide son coéquipier et l'ensemble de sa formation avec suffisamment de maîtrise pour réussir un bombardement très précis et pour ramener l'escadrille à la base". (Ordre de la Libération)

roumeguere le samedi 06 janvier 2018 - Demander un contact

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Roman Romain Kacew alias Gary, une évocation.

Romain Gary de la série Frères d'Armes:

La vidéo: 

Jacques Brisset le lundi 23 octobre 2017 - Demander un contact

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L’épopée d’un aviateur de la France Libre , par Yves Morieult

" N'ayant donc plus de pilote attitré, l'adjudant Murray se retrouve en dehors d'un équipage et devient disponible. A la fin du mois d'août, un nouvel équipage arrive au Lorraine, sortant du 13 O.T.U. de Bicester Le pilote est le sous-lieutenant René Puyt, le navigateur, le lieutenant Romain Gary et le radio mitrailleur-sergent Gabriel Linières qui n'a pas encore 20 ans. Viendra s'y ajouter, en qualité de mitrailleur, le sergent Joseph de Reynal de Saint-Michel, 21 ans. L'adjudant Murray ne sait pas encore qu'il fera équipage Mosquito, avec Puyt, dans quelques mois au 613 Squadron. En attendant, le 21 septembre 1943, il est affecté pour administration au centre d'instruction de Camberley et, après quelques jours de permission, rejoint l'état-major des forces aériennes françaises en Grande-Bretagne à Londres."

Laurent le mardi 06 octobre 2009 - Demander un contact

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" Equipage du "N" BOSTON III

De gauche à droite:

Lieutenant: Romain GARY, Observateur, BERCAULT, Sergent-Chef: BAUDEN, Radio-mitrailleur "

halifax346et347.canalblog.com 



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Laurent le vendredi 28 août 2009 - Demander un contact

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Réponse :

Commentaire de Bertrand H : " La photo a été faite le 26 mars 1944 jour de la mission sur Ijmuiden (NL); l'objectif du Ramrod 689 part II, entre 12:17 et 15:00, était des abris pour vedettes. L'équipage, moins le cne Langer (pilote) pose devant le Boston III BZ270 codé N."


halifax346et347.canalblog.com  :

"PERSONNEL DE L'ESCADRILLE "TOPIC" EN AOUT 1940

CAPITAINE:
Astier de VILLATTE, Observateur
Louis FLURY-HERARD, Observateur

LIEUTENANT:
Maurice de BOISROUVRAY- Observateur, Henri de la MAISONNEUVE- Observateur, Jean MICHEL- Observateur, Raymond ROQUES - Pilote, Paul ROQUERE - Observateur, Pierre de SAINT-PEREUSE - Observateur, Pierre BERMANN - Médecin.

SOUS-LIEUTENANT:
Gérard CLARON - Observateur, Jean HIRLEMANN - Pilote, Claude de la ROCHE SOUVESTRE - Pilote, Pierre ROMAINS-DESFOSSES - Chiffre.

ASPIRANT:
Bernard BARBERON - Observateur, Guy BECQUART - Observateur, Robert BIMONT - Observateur.

ADJUDANT-CHEF:
Georges MITAINE - Artificier.

PREMIER-MAÏTRE
Albert BLENVEN - Chef-mécanicien, Jean DIDIER - Radio, Jean HAIE - Chef-mécanicien.

ADJUDANT:
Auguste GUILLOU - Pilote, Françis MELVILLE LYNCH - Pilote, Marcel MOREL - Radio-mitrailleur

SERGENT-CHEF:
Paul BERNARD - Service-administratif, Noêl CASTELAIN - Pilote, André DEBURE - Radio, Xavier de SCITIVAUX - Pilote, Raymond JABIN - Pilote, Jean PERBOST - Radio-mitrailleur, Jean GRAVOUIL - Mitrailleur.

SERGENT:
Léon BOURDARIAS - Radio, Marcel CHERFILS - Météo, Romain GARY de KACEW - Mitrailleur, Alphonse DENIS - Instructeur, Paul FREMAUX - Conducteur, André DEVOS - Radio, Lucien JOUBERT - Mitrailleur, André LEMONNIER - Mitrailleur, Maurice SEGUINEAU - Pilote, Marcel VIDAL - Mitrailleur, Jean HUSSAR - Secrétaire-interprète, Alfred COPPENS - Secrétaire.

CAPORAL-CHEF:
François GANDIE - Photographe, Henri HENNEQUIN - Canonnier, Marc LEPEL-COINTET - Elève-Pilote, Roger TRUFFERT - Secrétaire.

CAPORAL:
Arsène BOMME - Mitrailleur, Raymond DUFFOUR - Mécanicien aéro, Paul EVRARD - Secretaire, Jean KERAUDEL - Mécanicien aréo, Jean LEJEUNE - Radio, Pierre GRASSET - Radio, Joseph KOLB - CUISINIER.

1er CLASSE:
Jean AUVRAY - Mécanicien, Octave BIGORGNE - Mécanicien, Boleslaw CIECALSKI - Mécanicien, Auguste LEGRAND - Gabier, André SAILLARD - Mécanicien, Victor MAHE - Mécanicien, Gabriel SOUM - Conducteur, Michel TOMCZAK - Intendance.

2e CLASSE:
Maurice BARAT - Radio, Alexandre BARRAUX - Conducteur, Robert BEDUIN - Mitrailleur, André BRIAND - Radio, Ernest DURLER - Conducteur, Werner DURLER - Mitrailleur, Jean FLEURY - Conducteur, Jean DEGENISSIEUX - Divers, Joseph GOLEBIOWSKI - Infirmier, René LANNUZEL - Divers, Raphaêl KLEIN-WEKSLER - Infirmier, Harry LEIGHTON - Divers, Paul LUNKE - Divers, Georges MOSTINECKX - Divers, Roger MICHENAUD - Mécanicien, Gabriel MOUILLAUX - Secrétaire, Maurice PERRON - Mécanicien, Joseph RENAULT - Mécanicien aréo, Françis SMITH - Secrétaire, Frédéric SPIELMAN - Conducteur, Elias VAN de PUTTE - Divers, Moîse VANSPEYBROECK - Conducteur, René VAN WINCKEL - Divers, Pierre VARNEY - Divers. "

laurent le jeudi 13 août 2009 - Demander un contact

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Réponse :

pas trouvé François GANDIE, Paul EVRARD, André SAILLARD


Romain GARY : un écrivain de talent !

Romain GARY, est aussi un grand écrivain qui a rédigé plusieurs oeuvres d'une grande qualité littéraire et philosophique.

Le personnage était très complexe, car il avait eu un parcours très singulier.

Un livre à lire : "La promesse de l'Aube", son autobiographie, un ouvrage agréable à lire, riche en idées.

VEUILLET Roland le vendredi 29 mai 2009 - Demander un contact

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Source : le Service de Santé de la France Libre, 1940 à 1943 de Guy Chauliac

Laurent Laloup le lundi 23 avril 2007 - Demander un contact

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Dernière mise à jour le samedi 02 décembre 2023

 

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