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| Félix Amédée Laplace | |
Naissance : 5 octobre 1921 - Méritein (64)
Activité antérieure : ouvrier / artisan
Point de départ vers la France Libre : Metropole
Passage en Espagne : ? 1942
Engagement dans la France Libre : en juillet 1943
Affectation principale : FAFL / Picardie
Grade atteint pendant la guerre et spécialité : sergent
Décès à 22 ans - 31 aout 1944 - Marigny Chemereau (86)
Mort pour la France
Dossier administratif de résistant : GR 16 P 337781
Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 28831 |
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Félix Amédée Laplace - son Livre ouvert !
Parcours FAFL Engagé dans la Marine comme élève sous-marinier Félix Laplace ne participera pas à la guerre avant d’être démobilisé. Evadé avec son frère lors de l’invasion de la zone non occupée, ils sont arrêtés en Espagne et enfermés dans les geôles espagnoles, dont le tristement célèbre camp de Miranda. Echangé contre de la nourriture il gagne l’Afrique du Nord puis le Moyen-Orient, où il est inscrit le 18 juillet 1943 à la Compagnie de l’Air (n°41586). Il déclare être mécanicien mais va rejoindre le personnel navigant après avoir été en école de mitrailleurs. Affecté au Groupe « Picardie », il est affecté au Groupement Patrie à sa formation à la mi-août 1944. Au décollage en fin de matinée du 31 août, c’était pour cet équipage sa première vraie mission de guerre. Bertrand H le samedi 25 mai 2019 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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 " 1944 : UN AVION DE LA FRANCE LIBRE ABATTU DANS LA VIENNE
Christian Richard
Le 31 août 1944, un A-24 Banshee du Groupe 1/18 "Vendée" attaque un convoi allemand dans la Vienne, près de Vivonne. Atteint par la Flak, l’avion se pose sur le ventre non loin du village de Marigny-Chémereau. Le pilote, Louis Combrisson s’extrait de l’appareil et est pris en charge par les habitants du village alors que son mitrailleur, Félix Laplace, mortellement blessé, s’éteint sous les yeux impuissants des villageois qui essaient de le secourir. Les Allemands tenteront en vain par une prise d’otages et des exactions d’intimider les villageois et de capturer le pilote, mais ce dernier parviendra à s’enfuir pour rejoindre son unité et recommencer le combat. Mais la mort, qui l’avait épargné une fois, allait venir réclamer son dû dans les airs, le 28 octobre 1947."
Jacques Ghémard le vendredi 24 mai 2019 - Demander un contact La page d'origine de cette contribution Recherche sur cette contribution | |
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